En 1951, le scénariste Peter Appleton a rejoint les grands noms d'Hollywood. Son script de Les Pirates du Sahara vient d'être porté à l'écran et il se réjouit du résultat.Cependant, Peter est accusé d'être communiste. Celui-ci n'a rien à se reprocher et ne comprend pas les accusations portées contre lui. Ivre, il roule vers une autre ville avec l'idée d'y commencer une nouvelle vie. Mais Peter est victime d'un accident de voiture. Il est transporté de toute urgence dans la petite bourgade de Lawson pour y recevoir les premiers soins.A son réveil, il ne se rappelle plus de rien. Harry Trimble, un habitant de Lawson, le voit et croit reconnaître son fils Luke, parti à la guerre quelques années plus tôt. Peter n'a aucun souvenir de Harry, mais il l'aide malgré tout à restaurer un petit cinéma de quartier laissé à l'abandon. Ce dernier s'appelle The Majestic.
Jim Carrey m'apparaissait au début de sa carrière comme une sorte de clown du cinéma (The mask), et comme les acteurs de cette catégorie, je pensais que sa carrière serait courte.
Mais à ma grande surprise, il cachait d'autres facettes de son talent et s'est montré capable d'incarner des rôles sombres (le nombre 23) ou émouvants (The Trueman show), talonnant de près Tom Hanks.
"The Majestic" m'a mis les larmes au yeux, pas seulement à cause de l'histoire, qui est une belle histoire, mais aussi grâce à l'interprétation de Jim Carrey, qui transporte les autres acteurs de ce film avec lui et son charisme, sans leur faire d'ombre.
Voici un film à ajouter à son palmarès de chefs-d’œuvre, simplement beaux et touchant le cœur, ainsi que la sensibilité de chacun.
Merci pour ce beau partage! :))